Comment imposer ses limites ? 5 étapes pour le rendre moins inconfortable

Avant de voir Comment imposer ses limites en détails ,levez la main si vous avez déjà toléré le comportement inacceptable de quelqu’un et lui avez trouvé des excuses parce que vous ne saviez pas comment réagir ou que vous aviez peur qu’en disant quelque chose, vous soyez considéré comme impoli ou égoïste.

Lisez tout l’article pour apprendre à imposer vos limites sans se montrer arrogant !

Levez une autre main si vous avez fait quelque chose à plusieurs reprises pour quelqu’un par obligation, puis le ressentiment envers eux a augmenté parce que vous vous êtes senti exploité.

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Ce n’est pas grave, beaucoup d’entre nous ont vécu de telles situations à un moment donné. Mais si cela se produit encore et encore, si vous ressentez que vous êtes pris pour acquis dans les relations, si vous avez l’impression à plusieurs reprises que les autres n’entendent pas ou ne respectent pas vos souhaits ou vos besoins, il est peut-être temps d’apprendre à imposer des limites.

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En thérapie et en coaching, mais aussi en général, on peut souvent entendre des personnes dire qu’elles aimeraient apprendre à se fixer des limites mais qu’elles ont des difficultés avec cela.

Une partie de la raison pour laquelle ils ont du mal est que fixer des limites est tout simplement inconfortable. Cela déclenche souvent des sentiments de culpabilité et de honte, et cela peut être particulièrement difficile pour les personnes qui s’identifient comme des personnes agréables.

En relation avec cela, parfois, ils ne savent pas à quoi ressemblent les limites. Quelle est ma responsabilité et qu’est-ce qui ne l’est pas ? Est-ce inapproprié si je dis à l’autre personne qu’il ou elle a franchi ma frontière dans cette situation ? Ai-je le droit de fixer des limites à toute chose ?

La troisième raison est qu’ils ne savent pas comment fixer des limites – pratiquement. Que dire pour fixer une limite ? Comment l’entretenir ?

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Plongeons profondément dans vif du sujet  et apprenons à établir des limites saines, afin que nous puissions nous montrer pour nous-mêmes et pour les autres de manière plus sincère et authentique. Comment imposer ses limites 

Que sont les limites ?

Les limites sont des limites physiques et émotionnelles que vous créez pour définir quelles sont les manières raisonnables, acceptables, sûres et permises pour que les autres se comportent avec vous.

Des limites saines vous aident à définir où vous finissez et où commence l’autre personne, ce dont vous serez responsable et ce dont vous ne serez pas responsable, et enseignez aux autres ce qui est et n’est pas une façon acceptable de vous traiter.

Les limites peuvent concerner diverses choses, par exemple : quels sont les moments appropriés pour que les autres vous appellent ou vous envoient des SMS, peuvent-ils venir chez vous à l’improviste, combien de temps ou d’argent vous donnez, comment les autres vous parlent, à quel point vous êtes physiquement proche, , discuter de différents sujets comme le sexe, la politique, la religion, des expériences personnelles, etc.

D’une certaine manière, les frontières sont comme des règles. Nous savons tous qu’il existe différentes règles dans la vie, comme devoir s’arrêter à un panneau STOP ou faire la queue au magasin, etc.

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Ces règles sont faciles à suivre – généralement, il y a de grands panneaux communiquant la règle, comme le feu rouge STOP …Les règles sont claires. Ne pas les suivre entraîne une sorte de sanction, comme une amende ou une désapprobation sociale.

 Ces règles sont en place pour éviter le chaos. Nos limites ont le même objectif : éviter le débordement et le chaos dans nos relations et protéger notre bien-être.

Cependant, elles ne sont pas si claires. Nous n’avons pas de panneaux collés sur nos fronts indiquant ce que nous considérons comme approprié et inapproprié.

 Nous devons communiquer cela. Et quand quelqu’un viole ces limites, nous pouvons fixer des conséquences.

A. Absence de limites :

• Avoir l’impression de ne pas être apprécié
• Le ressentiment dans vos relations
• Manque de conscience de vos besoins, ce qui conduit à l’épuisement professionnel
• Toujours dire oui pour éviter de décevoir les autres ou de se sentir coupable
• Se sentir obligé de répondre immédiatement aux autres et de répondre à leurs besoins
• Avoir l’impression d’être exploité

B. Limites:

• Être conscient de vos besoins et les communiquer clairement
• Dire non à des choses que vous ne vous sentez pas à l’aise de faire
• Se connecter avec les autres lorsque vous vous sentez émotionnellement prêt à vous connecter, pas lorsque les autres s’y attendent
• Avoir la confiance nécessaire pour parler de la façon dont vous voulez être traité et infliger des conséquences si cela n’est pas respecté
• Croire que vous avez le droit de préserver votre bien-être

Pourquoi les limites sont-elles si importantes ?

Les limites sont nécessaires à la santé et à la qualité de nos relations. Sans elles, nos relations ne peuvent pas prospérer. De mauvaises limites mènent au ressentiment, à la culpabilité, à la colère, à la frustration, à la déception et à l’épuisement professionnel.

Elles indiquent que nous ne sommes pas honnêtes dans notre relation parce que nous ne sommes pas libres de communiquer ce que nous ressentons ou ce dont nous avons besoin, mais que nous agissons plutôt par peur de décevoir les autres.

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Donc, les limites sont plutôt gentilles. Elles permettent aux autres de comprendre comment s’engager au mieux avec nous, et cela nourrit encore davantage nos relations.

Plus important encore, les limites sont cruciales pour notre santé physique et mentale. Elles nous protègent et nous aident à répondre à nos besoins. Elles nous donnent un sentiment d’agence sur notre espace physique, notre temps et nos ressources émotionnelles.

Sans elles, notre énergie s’épuise rapidement, nous laissant épuisés, stressés et sans espoir. De mauvaises limites peuvent également entraîner d’autres problèmes, comme avoir des difficultés à prendre des décisions ou confondre nos propres désirs et besoins avec les désirs et besoins des autres.

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 Nous pouvons finir par passer une si grande partie de notre vie à faire ce que les autres veulent que nous perdons le sens de nous-mêmes, ayant du mal à identifier ce que nous voulons ou ne voulons pas authentiquement.

Les limites sont une expression du souci de soi. Prendre soin de soi ne concerne pas seulement la façon dont vous mangez, la quantité d’exercice que vous faites ou la durée de votre repos. C’est un concept beaucoup plus large, faisant référence à la façon dont vous vous traitez, à la façon dont vous trouvez l’équilibre, la joie, le jeu et la gentillesse envers vous-même. C’est ainsi que vous prenez soin de votre santé physique et mentale; établir et maintenir des limites en est une partie essentielle.

Comment définir efficacement les limites ?

Même si les limites personnelles peuvent être difficiles à franchir, reconnaître nos limites et bien les communiquer est essentiel pour notre propre bien-être et pour établir des relations saines avec les autres. Voici 5 étapes qui peuvent vous aider à imposer des limites saines.

1. Comprenez que vous avez le droit d’imposer des limites

Non seulement c’est votre droit de créer des limites, mais c’est aussi votre responsabilité. Vous ne pouvez pas contrôler le comportement des autres, vous ne pouvez contrôler que le vôtre.

Par conséquent, ce que vous ressentez et ce dont vous avez besoin et comment vous voulez être traité n’appartient pas à l’autre personne de le découvrir, mais à vous de communiquer. Les limites personnelles vous permettent de vous approprier de votre propre vie et de façonner vos relations.

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Connaître vos droits fondamentaux et aussi quelle est votre responsabilité et ce qui ne l’est pas peut vous aider à vous sentir un peu moins gêné pour fixer des limites personnelles. Lorsque vous choisissez d’accepter pleinement ces droits et responsabilités et d’y croire, il devient beaucoup plus facile de fixer des limites et d’abandonner la culpabilité qui les accompagne.

N’oubliez pas que :

• Ce n’est pas votre responsabilité de rendre les autres heureux tout le temps
• Vous n’êtes pas responsable des mauvaises décisions des autres et personne n’est responsable de vos décisions
• Ce n’est pas votre travail de sauver les gens de leurs gros sentiments inconfortables
• Vous n’avez pas besoin de permission pour être qui vous êtes, penser ce que vous pensez ou vous soucier de vos besoins
• Vous avez le droit d’accepter vos sentiments, quels qu’ils soient. Les comportements et les sentiments ne sont pas la même chose
• C’est normal que les autres se fâchent ou se sentent mal à l’aise
• Vous avez le droit de dire NON
• C’est normal de passer du temps seul sans s’expliquer
• Les autres ont parfaitement le droit de ne pas être d’accord avec vous ou de ne pas aimer votre décision

2. Identifiez ce dont vous avez besoin

Afin de créer des limites, il est important de définir clairement ce que vous voulez et pourquoi. Pour fixer de bonnes limites, il est souvent nécessaire d’identifier précisément vos besoins et vos valeurs fondamentales et personnelles.

Parfois, surtout si vous les avez ignorés la plupart du temps pour répondre aux attentes et aux demandes des autres, cela peut être difficile. Pourtant, n’abandonnez pas. De petits pas mènent à de grands résultats. Voici quelques questions que vous pouvez vous poser et qui peuvent vous aider :

• Qu’est-ce qui est important pour moi?

• À quoi je veux que mes relations ressemblent ?

• Quels sont mes objectifs ?

• Qu’est-ce que j’apprécie dans la vie ?

Il est donc important d’être clair sur ce que vous voulez exactement changer, pourquoi et comment. Cela vous aidera à communiquer clairement votre limite et à maintenir le cap lorsqu’elle sera franchie. Écrire cela peut également être utile.

3. Communiquez votre limite

Vient maintenant la partie la plus difficile – vous devez communiquer la nouvelle limite que vous souhaitez définir. Vous n’avez pas besoin de vous excuser pour vos limites – il n’y a rien de mal à dire non ( Apprendre à dire non un guide complet pour les personnes timides), à demander ce dont vous avez besoin. Beaucoup de gens craignent que le fait de communiquer clairement leurs limites et de ne pas s’en excuser puisse sembler impoli, égoïste ou inconsidéré. Cependant, vous pouvez communiquer vos limites avec douceur, compassion et gentillesse, tout en restant ferme.

La clé est de communiquer vos limites sans critique ni mépris. Prenez possession de vos limites, sans blâmer l’autre personne. Utilisez des déclarations en « je » – restez concentré sur vos besoins.

Par exemple, au lieu de dire :

« Arretez de m’appeler à des moments inappropriés lorsque je suis au travail. Arrêtez de me déranger pendant les heures de bureau.

Tu peux dire :

“Je suis très occupé pendant les heures de bureau et répondre aux appels à ces moments-là me distrait, s’il vous plaît, n’appelez pas avant 17 heures, sinon je ne pourrai pas répondre.

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Une astuce qui peut faciliter la communication bienveillante des limites consiste à remplacer « mais » par « et ». Ce petit changement de langage implique que les deux choses que vous communiquez peuvent exister en même temps. Par exemple : “J’aime passer du temps avec toi ET aussi j’ai besoin d’espace pour moi” sonne différemment de : “J’aime passer du temps avec toi MAIS j’ai besoin d’espace pour moi”, n’est-ce pas ?

Si nécessaire, vous pouvez expliquer pourquoi vous trouvez qu’il est important de fixer cette limite et de la définir comme une étape positive pour les relations et/ou pour votre bien-être.

Cependant, évitez de trop expliquer, car  cela peut sembler déroutant, et en plus il peut commencer à ressembler à des excuses qui impliquent que vous n’avez pas le droit de déterminer ce que vous voulez et ce que vous ne voulez pas faire. Mais vous avez ce droit, et vous pouvez le posséder sans se culpabiliser.

Donc, en bref, comment communiquer vos limites :

• Soyez direct et clair. Dites exactement ce dont vous avez besoin et ce que vous voulez changer.
• Soyez chaleureux dans votre communication. Remplacer “mais” par “et”
• Ne critiquez pas et ne blâmez pas. Au lieu de cela, concentrez-vous sur vos besoins et utilisez les déclarations « I »
• Expliquez pourquoi c’est important pour vous. Ne pas trop expliquer ou s’excuser pour cela

Voici quelques règles générales sur la façon de communiquer vos limites, mais elles varieront en fonction de la personne avec qui vous communiquez et de la nature de votre relation.

Quelle que soit l’approche que vous choisissez d’utiliser – douce, ferme, compatissante, courte – savoir ce que vous voulez en fixant la limite est la chose la plus importante.

4. Préparez-vous à la résistance

Parfois, les gens reconnaîtront votre nouvelle limite et la respecteront. D’autres fois, malheureusement, les choses n’iront pas aussi facilement. Ils peuvent essayer de discuter, de s’opposer, de vous culpabiliser pour que vous retiriez vos nouvelles limites, de se mettre en colère ou de poser des questions.

D’une certaine manière, c’est normal – ils sont habitués à un type d’interaction avec vous et maintenant ils sont confrontés au changement. Ce genre de réaction est particulièrement courant chez les personnes qui ont profité de votre manque de limites.

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 Vous révoquez maintenant ce privilège, il est donc normal qu’elles se fâchent. Mais s’ils avaient ce privilège au détriment de vos besoins ou de votre bien-être, ils n’étaient jamais censés l’avoir en premier lieu.

Le fait que les autres réagissent mal au fait que vous fixiez des limites n’est pas une preuve que vous n’auriez pas dû les fixer. Établir des limites peut être un processus inconfortable (pour les deux parties), alors préparez-vous.

Nous en reparlerons un peu plus dans la dernière section de cet article. Ce qu’il est important de retenir, c’est que l’établissement de limites, même inconfortables, est une compétence précieuse que vous développez au fil du temps et qui en vaut vraiment la peine.

5. Exécutez votre nouvelle limite

Les limites incluent une action. Énoncer les limites est un grand pas; cependant, c’est le suivi qui les rend efficaces. Si vous avez défini une limite – demandé à l’autre personne de changer son comportement et communiquez comment vous allez vous comporter – assurez-vous de vous y tenir. De cette façon, vous faites preuve de cohérence – envers l’autre personne et envers vous-même.

Bien sûr, nous voulons tous que les autres respectent nos limites. Cependant, nous devons accepter que, parfois, ce ne sera pas le cas et nous ne pouvons obliger personne à se comporter comme nous le souhaitons.

 Les limites sont là pour communiquer et protéger vos besoins, pas pour contrôler le comportement de quelqu’un d’autre. C’est pourquoi vous devez définir des conséquences pour la violation de vos limites et vous donner la permission de les exécuter.

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 Si quelqu’un franchit à plusieurs reprises vos limites malgré de multiples avertissements et une communication claire de votre part, vous disposez d’un éventail d’options. Demandez-vous : « Si les choses restent exactement comme elles sont en ce moment et ne changent jamais (et il semble que ce ne sera pas le cas), que puis-je faire pour protéger mon bien-être ? Peut-être prendre de la distance physiquement, travailler son détachement émotionnel, mettre un terme à la relation… ?

Pesez les avantages et les risques et choisissez les prochaines étapes, assurez-vous simplement que votre santé mentale est votre priorité absolue.

Bien sûr, vos limites n’ont pas besoin d’être gravées dans le marbre – vous pouvez les modifier ou faire une exception, c’est votre choix. Cependant, si vous repoussez vos limites pour une raison quelconque, assurez-vous que cela sert votre bien-être. Et non, “je me sens mal de souligner à nouveau le comportement inacceptable de quelqu’un envers moi, alors je vais juste m’adapter et le supporter d’une manière ou d’une autre” n’est pas une raison suffisante.

Pourquoi est-ce que je me sens mal quand j’impose mes limites ?

L’établissement de limites présente d’énormes avantages, à la fois pour vous et pour les personnes qui vous entourent. Mais la réalité est que cela nécessite de tolérer des sentiments inconfortables.

La plupart d’entre nous veulent vraiment que les autres nous aiment et ne veulent décevoir personne. L’établissement de limites peut être particulièrement difficile pour les personnes qui s’efforcent de plaire aux autres ou qui viennent de familles où les limites n’étaient ni encouragées ni respectées.

Dans certaines familles, les limites = déconnexion, manque de respect ou manque d’amour. Cela devient un modèle qu’un individu porte à l’âge adulte.

Si vous avez grandi dans un environnement où il y avait de fréquentes atteintes à la vie privée, si vous avez été puni pour avoir parlé ou dit non, si sacrifier vos propres besoins et plaire aux autres signifiaient être un bon enfant, vous avez peut-être du mal à fixer des limites en tant que adulte.

Si vous avez appris que prendre soin de vos besoins est égoïste et que toujours donner la priorité aux autres est altruiste et compatissant, il est naturel que, lorsque vous vous défendez et fixez des limites, aussi saines soient-elles, la culpabilité surgit.

 La culpabilité ne signifie pas nécessairement que vous faites quelque chose de mal ; cela signifie souvent que vous êtes conditionné à le ressentir dans certaines situations. Comme, par exemple, lorsque vous prenez du temps pour vous ou que vous priorisez vos besoins, ou lorsque les gens ont des émotions inconfortables à propos de vos limites.

Soyons réalistes – parfois, les gens n’aimeront pas vos nouvelles limites et peuvent avoir de grands sentiments à leur sujet. Ce qu’il est crucial de comprendre ici, ce qui est votre responsabilité et ce qui ne l’est pas.

Établir et maintenir vos limites sont vos responsabilités. Vous êtes responsable de la façon dont vous le faites – ce que vous dites et comment vous le dites. Vous n’êtes pas responsable des actions des autres.

Bien sûr, c’est plus facile à dire qu’à faire. Il n’est jamais agréable de voir quelqu’un avoir des émotions inconfortables, surtout envers quelque chose que vous avez dite ou faite. Mais leur réaction est leur responsabilité, pas la vôtre. Laissez-leur leurs émotions, ils y ont droit. Vous pouvez être à l’écoute des besoins des autres et vous soucier de leurs sentiments sans déplacer vos limites.

Se sentir responsable des émotions des autres ne vous rend pas nécessairement gentil et compatissant. Au lieu de cela, cela peut conduire à des comportements de sauvetage, au ressentiment et à une dynamique relationnelle malsaine et enchevêtrée.

Donc, si la question est de savoir comment fixer des limites sans que personne ne se sente mal, la réponse est – parfois, c’est impossible, simplement parce que nous ne pouvons pas contrôler les émotions des autres, aussi doux et compatissants que nous soyons dans notre communication.

N’oubliez pas que les autres ont le droit de se sentir mal à l’aise. Ils peuvent le gérer, et vous aussi.

Fixer des limites est quelque chose qui demande du courage, de la pratique et de la cohérence. Leur apparence et leur déroulement sont différents pour chacun. Cela peut prendre un certain temps pour déterminer les types de limites dont vous avez besoin, vous permettre de les fixer et expérimenter les moyens les plus appropriés de les mettre en œuvre dans votre vie, mais votre santé mentale et vos relations apprécieront l’effort à long terme. .

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Où dans votre vie avez-vous besoin de limites plus fermes ? Que trouvez-vous difficile lorsqu’il s’agit de les définir ? Faites-le nous savoir dans la section des commentaires ci-dessous.

De plus, si vous connaissez quelqu’un qui trouverait cet article utile, n’hésitez pas à le partager avec lui ou à le partager sur vos réseaux sociaux.

J’espère que ces mots sur Comment imposer ses limites vous ont été très utiles !

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